This entry was posted on août 14, 2008 at 6:56 and is filed under Cadavres exquis. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
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81 Réponses to “Brise de bise et d’amibe abîmée (allitération)”
[…] [pour moi] intéressant. Je colle mes fragments d’allitération d’un cadavre exquis collectif et j’analyse ensuite le tout. Beau miroir d’une époque assez […]
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août 14, 2008 à 7:04
qui hante hâtivement l’antre ambivalente de mon âme
août 14, 2008 à 8:25
je jetais les jeux jalousement jusqu’au
août 14, 2008 à 9:17
ciel silencieux, s’allumant d’un soleil sensorielle et
août 15, 2008 à 12:03
calmant candidement quelques cafardeux et cacophoniques quintettes
août 15, 2008 à 4:53
qui ne concevaient que dalle les kyrielles de chaos
août 15, 2008 à 6:54
cherchant sans cesse ses chemins qui
août 15, 2008 à 7:14
stimulent ses sensations, ses sentiments et sa soif de sonder ses sens
août 15, 2008 à 10:34
Palpant sa poitrine en palpitations précoces
août 15, 2008 à 11:02
il se gratte le coeur, voile ses yeux et plonge dans
août 16, 2008 à 12:16
ses pensées pernicieuses et ses souvenirs souffreteux
août 16, 2008 à 6:49
se perdant parmi les périodes de persistance de ma peur
août 17, 2008 à 8:30
sourde. Il est lui et moi, en même temps, un carnage vert-de-gris qui
août 17, 2008 à 10:47
colore et catapulte, cette symbiotique synergie
août 19, 2008 à 2:29
sinueuse et sensible aux signes sensoriels qui s’immiscent dans
août 20, 2008 à 12:55
notre intimité ténuement teintée tant la timidité
août 20, 2008 à 4:16
se fait sentir… Et ça sent fort, ça sent la crame au bout
août 21, 2008 à 1:04
Quel effort calculé qui efface par le feu quelques fabulations quantifiées
août 21, 2008 à 3:30
tripottant tantôt tout un timbre têtu tant il était un tantinet tendrement tonitruant
août 21, 2008 à 11:49
que les cœurs carencés ont créé pour compenser quelque chose qui
août 22, 2008 à 2:28
grince grossièrement comme le gris grognement d’une grouillante grenouille grivoise
août 22, 2008 à 3:30
Arrière arrogante arraignée qui ravive ma rage!
août 22, 2008 à 9:27
Je rougis rageusement me rongeant à plein régime et rajuste mon
août 23, 2008 à 12:53
tir troublé tantôt traînant intrinsèquement
août 23, 2008 à 7:19
Dans une dance dantesque, cette dangereuse dame
août 24, 2008 à 1:05
ouatée aux doigts de soie et en proie à
août 25, 2008 à 2:02
au plus particulier paradoxe, plaire et prendre ou perdre et pleurer.
août 26, 2008 à 6:01
Pour pouvoir passer par dessus sans perdre
août 26, 2008 à 6:26
piteusement patience, présumant la plénitude plaisante, elle se présentait
août 26, 2008 à 10:15
impérieusement parée pour peindre sa plate époque, puis prise d’apoplexie pathétique
août 26, 2008 à 10:36
et potentiellement préjudicable, cette pétasse psychologiquement paranoïaque
août 28, 2008 à 3:54
savait savourer sa vie comme si sans soleil s’était symphonique, silencieux et
août 28, 2008 à 4:56
laiteux de lumière laide, luisante et languissante. La lourde lutte lubrique lacérant le léger linceul
août 29, 2008 à 7:56
laissait leur luxure lascive et leurs largesses ludiques les libérer de leur léthargie
août 30, 2008 à 2:09
, la danse ainsi démarrée, dardée de décance et de coups assénés,
août 30, 2008 à 5:09
fut-elle fusée, non s’en s’amuser sous les souffles et les buées imbues de nos corps nus encore en or vu comme au musée. Toutes
août 30, 2008 à 5:53
les tentations tenaillantes sont si vigoureusement vivifiantes que des démons dodelinent dangereusement dans
août 30, 2008 à 10:59
un inextricable lexique hectique et s’expriment exactement sans s’extasier sexuellement
août 30, 2008 à 11:32
sous cette expression exquise de l’inexplicable exorcisme exceptionnellement exultant
août 31, 2008 à 11:41
la beauté de la baie béante, bouclant la bouche de bidons baisers barbelés
septembre 1, 2008 à 1:47
acidulant la carcasse sarcastique et castrant la caste agaçante aux cuirasses cassées. Les
septembre 1, 2008 à 4:42
calembredaines comiques concoctées par le cortex cérébral de cette cabotine claustrophobe
septembre 2, 2008 à 6:19
assujettie aux assidus assaults censés souder ses fesses au saut des synapses et des sottises. Tout
septembre 2, 2008 à 4:18
oubli ouvertement avoué ouvrira la voûte vers Vénus et tourmentera la traîtresse toute entêtée
septembre 3, 2008 à 2:44
et bégueule. S’égaillant en béguetant et bégayant en ayant le béguin pour ses bigoudis et ses bégonias
septembre 3, 2008 à 4:23
, cette bigote bigarrée bigame, à la bouille d’une bégum, bigle bigrement un bigarreau bouffi qu’elle a cueilli. Bigre!
septembre 4, 2008 à 2:02
Qu’attends-tu pour taire ta quête écarlate, qu’un quelconque quidam calcule les tentatule de l’équation?
septembre 5, 2008 à 3:30
J’attends gentiment de joindre au jeu les jeunes jumeaux jaloux de jaunisse gesticulant d’injures
septembre 12, 2008 à 9:02
conjointement juxtaposées et justifiées et je juge injustement leur jugement
septembre 22, 2008 à 1:30
faussés sans fendre de larme fossiles si froide qu’ils fussent
septembre 23, 2008 à 8:56
frigorifiés telle une fenêtre affrontant un fulgurant frimas
septembre 24, 2008 à 12:02
. Bizzarre cette brise boursouflée dont le zézaiement bicolore embrase
septembre 25, 2008 à 8:57
la braise brunissante du bûcher brûlant la barbarie bassement
septembre 30, 2008 à 3:15
ludique. La lie lourde délaissée lâchement dans le lit aux draps laineux par la délirante
octobre 1, 2008 à 5:29
diablesse des désirs lient la luxure et le luxe
octobre 3, 2008 à 5:06
sans s’accabler de sorte que son soupir s’oriente sans cesse car
octobre 3, 2008 à 12:03
son astrolabe labiale l’habille au lobe ; habile lubie atrabilaire habilitant l’aube
octobre 6, 2008 à 3:59
mieux que les embruns la vague et mieux que la laine les brebis bêlant de toutes leur soupapes leur souvenir d’une bise
octobre 6, 2008 à 4:23
brisant les branches des anciens arbustes et abîmant les abîmes abyssaux
octobre 6, 2008 à 9:18
vers lesquels coulent et s’écroulent les corps
octobre 7, 2008 à 8:56
aux croupes crasseuses écrasées en carcasses écartélées. Assez de
octobre 7, 2008 à 5:36
bassesses et de balivernes, le bonheur béat est un idéal irréaliste
novembre 9, 2008 à 8:07
, une utopie urticarienne aussi outrageuse qu’une huile issue de huit huîtres de l’Ouest du Utah
novembre 12, 2008 à 10:58
. tournées entre tes tentacules tangibles, toutes tendues vers la tentation de toi
novembre 18, 2008 à 9:44
, t’imaginant tâter mes tétons tout en me titillant tantriquement et en te taquinant ta
novembre 21, 2008 à 7:32
normalité immorale et ta morne mortalité, tu m’utilises et mutiles ma muse et t’amuses aux multiples mues, mutine que tu es.
novembre 21, 2008 à 2:47
Qu’est-ce qui crie comme un cochon et crinque d’un cran la crécelle qui crisse comme une crise dans ma caboche cacophonique ?
novembre 24, 2008 à 11:49
C’est le bambin qui bave sur son bavoir en balbutiant quelques bravo au brave Brian Bonin ce Bon et Bel?
décembre 12, 2008 à 10:05
bachelier en biologie. Ce banlieusard batifolait souvent avec Bibiane la bavarde et
décembre 18, 2008 à 7:58
bilingue bimbelotière buvant du bon bourbon.
décembre 20, 2008 à 3:33
Mais si tout est cri, tourbillon, critique de créatures, et destruction
décembre 22, 2008 à 8:42
dantesque et déchirante, je déambule sur les dédales du désir et je danse sur des
décembre 23, 2008 à 9:43
tonneaux troués torturés de tristes tarentules ténues
janvier 28, 2009 à 8:26
tissant tentaculairement leurs toiles dans leur terrarium
janvier 29, 2009 à 4:43
avides alors que la vie arrivait
février 19, 2009 à 10:44
…….et vlan! la voilà nue, d’un voile velu; voici de la vulve première la lumineuse larvaire, pourvue d’un châle chair et d’un minois menu. Même si
février 26, 2009 à 7:22
mon moi se meurt, je m’émeus devant ce moment magique
février 28, 2009 à 12:04
que dressent la franche hardiesse et la liesse de
mars 3, 2009 à 9:02
la foule loufoque foulée du fou affolé au foulard frôlant la féline feulant du fol amour
mars 3, 2009 à 8:30
fuyant frontalement les faîtes frémissantes de l’amitié fraternelle
avril 19, 2011 à 10:48
[…] [pour moi] intéressant. Je colle mes fragments d’allitération d’un cadavre exquis collectif et j’analyse ensuite le tout. Beau miroir d’une époque assez […]
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